Port-au-Prince, fin 2017, pour une énième fois en quelques mois, attire l’attention parce qu’elle croule sous le poids des immondices. Le sort des indignes est fait à la capitale d’Haïti, siège de la présidence, de la Primature, de la BRH et d’autres grandes institutions du pays. Pince sans rire, Efton Desannées, outré par cette folle descente dans les entrailles des ordures, a estimé qu’il faut au moins qu’un « Pè Savan » chante un libera pour que l’âme de Port-au-Prince repose en paix. Pour ce septuagénaire qui a une histoire de cinq déc