Le chef de l’État, en mode dénonciateur, n’a pas mâché ses mots pour administrer une douche aux contrebandiers. « Anpil moun, anpil otorite, anpil gran komèsan, ti komèsan, nan mouvman kontrebann ». À entendre Jovenel Moïse, la frontière est poreuse et elle mérite une surveillance attentive.
D’où la nécessité, pour lui, d’avoir une unité de police frontalière. Ce corps spécialisé, indique Jovenel Moïse, est important pour l’avenir du pays. « L’État se doit de faire respecter le code douanier du pays, lutter contre le trafic de drogue,