« L'Alphabet des nuits » : un roman de maturité de Jean-Euphèle Milcé

« Les premières couleurs que m'apporte le soleil se dessinent en labyrinthe de virages.

Robenson Bernard
Par Robenson Bernard
17 mai 2005 | Lecture : 2 min.
« Les premières couleurs que m'apporte le soleil se dessinent en labyrinthe de virages. Port-au-Prince se réveille toujours avec ses cris, ses douleurs mal exprimées dans une enveloppe de fumée. De bas en haut, les espoirs massacrés par le vit-qui-peut planent sur un espace qui a perdu son destin de capitale [...]. C'est le signe annonciateur d'une autre journée grise » (p.13) On devrait sûrement s'arrêter là. Ajouter que les pages qui suivent sont de la même veine, de la même trempe et du même souffle. Ça, un premier roman ? C'est entendu,
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