Depuis le mardi 31 octobre 2017, cinq des personnes auditionnées par un juge de paix sont détenues au Pénitencier national. Sur la liste figurent deux employés sur sept du MICT et trois du bureau de change UCO. Les charges retenues contre elles : faux en écriture publique et de commerce, association de malfaiteurs et blanchiment des avoirs.
Des hommes disent à haute voix dans les couloirs du parquet : « Les complices sont en prison et les auteurs courent encore les rues de la capitale. » Ces déclarations poussent plus d’un à se demand