Dans le vacarme des petits marchands éparpillés entre la rue du Peuple et celle du Docteur Aubry, un trio d’écoles publiques fonctionne au centre-ville de Port-au-Prince. L’école nationale Tertullien Guilbaud, l’annexe du lycée Alexandre Pétion ainsi que l’école nationale République du Venezuela y sont logées.
L’affluence des marchands obstrue au passage l’enseigne de l’école nationale de la République du Venezuela. À l’intérieur de ce vaste espace s'érige l’immeuble du bâtiment de cette école en ruines et les hangars. Dans les salles