« Nous, les hôpitaux prestataires de soins, sommes directement pénalisés dans notre capacité à opérer quand un partenaire aussi important que l’OFATMA/CONAM est en défaut de paiement depuis plusieurs mois, cumulant des dettes de plusieurs millions de gourdes pour des institutions dont les liquidités sont faibles et qui n’ont pas accès à des systèmes de crédit adaptés », a noté le Dr Franck Généus qui tenait à préciser pour Youri Latortue qu’il y a actuellement « un nombre croissant d'institutions hospitalières en difficulté financière, due