« Aujourd’hui, tous les risques sont pris par l’Ed’H. Il faut que le secteur privé intègre aussi le partage des risques », a martelé Hervé Pierre-Louis s’en prenant ouvertement au cadre légal qui, selon lui, devrait permettre au secteur d’être attractif pour attirer les investissements et aussi partager les risques.
Actuellement, 60% de la production est réalisée par le secteur privé, 40% par la production propre de l’Ed’H qui s’occupe à la fois du transport, de la distribution et de la commercialisation. En communiquant ces données à