La vie associative se dégrade et l’avenir des clubs en prend pour son grade. Le constat est là, et on est las de voir que, depuis au moins quatre décades, les notions de club littéraire, club sportif et privé, sont galvaudées au point de ne plus respirer la vie.
Les politiques ayant prêché le plus mauvais exemple d’un opportunisme de mauvais aloi, personne n’est entichée de prendre part à une vie de groupe, de contribuer à son existence, voire participer de près ou de loin à la création d’un club artistique ou sportif. La mort du théât