Alors que l’Association professionnelle des magistrats annonce un mot d’ordre de grève à partir du 13 septembre pour dénoncer le vote du budget 2017-2018 qui traite le pouvoir judiciaire en parent pauvre, l’Association nationale des magistrats estime de son côté que le moment n’est pas opportun. « Nous sommes en vacances judiciaires. Et dans les vacances judiciaires, les tribunaux fonctionnent avec un effectif réduit juste pour pouvoir offrir un service minimum essentiel aux justiciables», explique le président de l’ANAMAH, Durin Duret Juni