Antoine J. Roc, musicien des années de prime jeunesse

Il m’arrive de remonter aux années de ma jeunesse studieuse sans bien sûr que j’aie vécu comme François Villon, le poète vagabond.

Jean-Claude Boyer
Par Jean-Claude Boyer
29 août 2017 | Lecture : 3 min.

Il m’arrive de remonter aux années de ma jeunesse studieuse sans bien sûr que j’aie vécu comme François Villon, le poète vagabond. Voilà qui me fait penser à un camarade de classe terminale, Antoine J. Roc alias Tatane. Un joyeux drille. Un boute-en-train. Déjà en ce temps-là, par son talent musical il s’était révélé à nous. Excellent guitariste, chanteur mélodieux, il raffolait de musique brésilienne. De bossa-nova. Je crois l’entendre fredonner : «Samba Saravah». Tatane aimait aussi Claude Nougaro : «Sur l’écran noir de mes nuits blanches/

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