« La banque centrale a maintenu une politique monétaire restrictive – en termes de réserves obligatoires, de taux d'intérêt et d'émission d'obligations BRH pour la reprise de la liquidité de l'économie – dans un contexte de pressions inflationnistes. Les taux de réserves obligatoires sur les passifs en gourdes et en dollars des banques commerciales sont restés à 42% et 46%, respectivement », souligne le rapport, notant que la banque centrale a réduit significativement (-55%), à la fin de l'exercice 2016, le financement du déficit public.