M. DORVILIER, je crois que vous êtes au courant de toutes les dissensions que votre article a suscitées. Sans vouloir enfoncer une porte ouverte, je veux vous répondre ceci: si nous versons des larmes de crocodile sur le départ de nos frères et soeurs c'est parce que ça nous fait mal. Ils partent vers des pays lointains où ils ne sont pas toujours les bienvenus. Nous pleurons parce que ce n'est pas ce que nous voulons.
Laissez-moi attirer votre attention sur les faits suivants: l'Europe entière est éclatée et dépassée par des vagues d