Evalière Beauplan: «Le pays a fait assez pour moi pour ne pas me laisser corrompre!»

Alors que tous les auditionnés clament leur innocence, parfois la main sur le cœur, comme si l'argent de PetroCaribe a été bien dépensé et qu'il n'y a pas lieu d'un scandale à la dimension de Petrobras, l'enquête suit son cours, sans tambour ni trompette, comme l'impose le premier des commissaires, le sénateur Evalière Beauplan.

Juno Jean Baptiste
Par Juno Jean Baptiste
07 août 2017 | Lecture : 2 min.

Il est l'homme PetroCaribe, celui sur lequel tous les projecteurs sont dirigés, celui sur qui beaucoup tomberont quand les recommandations de l'approfondissement de l'enquête sur l'utilisation, voire la dilapidation de l'argent vénézuélien seront publiées – peut-être à la fin du mois d'août. Evalière Beauplan, sénateur du Nord-Ouest, le premier des commissaires, mesure toute la dimension de la tâche. «C'est une responsabilité morale et politique» de défricher la vérité dans ce dossier, a-t-il dit au Nouvelliste, se gardant de laisser filtrer

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