À l’avenue Christophe, depuis sept ans, le lycée Jean- Jacques Dessalines fonctionne sous des hangars, de véritables pompes à chaleur. Attaqués à plusieurs endroits par des moisissures, les matériaux utilisés ne peuvent plus résister aux assauts du temps. Les structures ne sont presque plus d’usage. Les planches sont pourries et aucune garantie n’est établie.
Détruite par le séisme dévastateur du 12 janvier 2010, l'institution, qui accueillait plus de 5 000 élèves avant la catastrophe n’a pas été reconstruite jusqu'à présent. Pourtant,