Quelques jours après la mort de Claude C. Pierre, Josaphat-Robert Large nous avait averti dans un courriel qu’il était en train d'écrire un poème pour son ami. Les jours ont passé. Silence radio. Ajoutons qu’une semaine avant son grand départ, le 24 juin, Claude lui-même avait téléphoné à l'un des organisateurs du festival de la poésie à Jérémie, Me Jean Guy-Marie Louis, pour lui dire que « ça ne va pas pour Bobisson ». Nous avons écrit, nous-mêmes, courriel sur courriel à l’auteur de « Jérémie et sa verdoyante Grand’Anse ». Aucune réponse.