Help : 500 gourdes pour jeter les bases d’un ascenseur social

Lorsqu’en 1996 Conor Bohan tira 500 gourdes de sa poche pour payer les frais d’inscription d’une bachelière à une école de médecine, il ne s’imaginait pas en train de jeter les bases du programme qui sera, dans deux décennies, un ascenseur social.

Jean Daniel Sénat
Par Jean Daniel Sénat
28 juil. 2017 | Lecture : 4 min.
Lorsqu’en 1996 Conor Bohan tira 500 gourdes de sa poche pour payer les frais d’inscription d’une bachelière à une école de médecine, il ne s’imaginait pas en train de jeter les bases du programme qui sera, dans deux décennies, un ascenseur social. Gary Délice, directeur national du programme et taulier de première heure, raconte que Help a gravi les échelons en 3 étapes de 1996 à nos jours. « De 1996 à 2003, on peut parler de la période informelle puisque nous avons supporté les bénéficiaires avec nos propres moyens. On est passé de la période
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