Laënnec Hurbon confesse son amitié pour Claude C. Pierre

Le journal a rencontré le sociologue Laënnec Hurbon l’un des amis les plus proches de Claude C. Pierre. Ils habitent, tous les deux à Belvil sur la route de Frères.

Wébert Lahens
webblahens@yahoo.fr
Par Wébert Lahens webblahens@yahoo.fr
10 août 2017 | Lecture : 2 min.

Le N.- Laënnec Hurbon, comment avez-vous vécu la disparition de Claude C. Pierre ?

L.H- D’abord, Claude était l’homme de la convivialité. Il aimait les contacts ; il aimait discuter et partager avec les autres. À travers ses discussions, Haïti occupait toujours la première place. Sa passion pour la poésie et la discussion en témoigne. Claude portait le pays en lui, et s’épanouissait dans ses rapports avec les autres.

À Belvil où il habitait comme notre voisin, sa maison était un lieu de rencontre où les gens du quartier pouvaie

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.