Mirielle Lamy, veut se démarquer des chanteuses à midinette qui se cantonnent à l’amour, à des rhétoriques façon « tu me quittes, reviens-moi, je t’aime… ». Le divin l’a dotée d’une tessiture grave qui oscille entre Imany et Cher qu'elle préfère utiliser pour porter des revendications plus nobles comme c’est le cas dans ces deux textes en rotation sur la bande FM et sur nos petits écrans en permanence.
Dans M pa bezwen konnen, elle nous enseigne à ignorer les détracteurs de tous ordres qui peuvent, si on les prend au mot, entraver notre prog