Une équation difficile à résoudre pour le Conseil supérieur des salaires. Satisfaire les ouvriers en colère, rassurer les patrons et diminuer la pression de la rue sur le gouvernement. Le rapport du CSS doit prendre tout ça en considération. Le président de cette institution, Me Renan Hédouville, annonce qu’il soumettra les recommandations du Conseil à l’exécutif avant la fin des deux premières semaines du mois de juillet.
« La création d’emplois, les progrès économiques et la justice sociale », les trois axes sur lesquels le CSS va s’appuye