La crise qui sévit dans le secteur de la sous-traitance ne semble pas bouger d’un poil, malgré l’installation des membres du Conseil supérieur des salaires. Les ouvriers ont encore chômé ce lundi. Ils persistent et signent en réclamant de meilleurs conditions de travail dans le secteur de la sous-traitance. Ils étaient plusieurs milliers à gagner les rues de la capitale pour réclamer mordicus le réajustement du salaire minimum à 800 gourdes, en adéquation avec la cherté de la vie.
Parfois acerbes dans leurs propos envers l’équipe au pouv