Grand oublié de l’univers orcélien, victime d’un silence d’écurie, Les latrines de Makenzy Orcel n’est pas du tout un mauvais document qui peut produire de la nausée à l’orée de la première page. Sauf que, parfois, les livres savent créer l’effet d’inattendu au moment ou l’on s’y attend le moins. Espérons que la postérité le restituera un jour de ses cendres grises et de l’insouciance de la critique littéraire. Abordons cette œuvre au prisme de la curiosité pour en dégager d’autres souvenirs plus vivaces.
Publié en 2011 aux éditions Mém