Coutchève se distingue de cette génération de poètes qui portent en eux la poésie comme un temps perdu. Au contraire, il se sert de son art pour articuler son langage humecté d’amertume, de toute manière, son poème interpelle la folie d’aimer dans l’embrasure. Dans ses poèmes, la facilité du vers et la fluidité du poème s’instituent ouvertement sur la musicalité. Les lecteurs compétents le reconnaitront d’un clin d’œil. De quoi s’agit-il ? D’errance dans son dernier recueil intitulé « Le doute de la main », prix René Philoctète, 2016