Vient de paraître aux Éditions FARDIN, « L » de Théodore Achille. Le titre intrigue et renvoie à l’implicite. Dans ce roman, qui se tient dans la paume d’une main ouverte ou fermée, la poésie n’occulte point les reliefs d’une réalité drue, impitoyable, provocatrice. Grâce à la revalorisation du langage, l’auteur arrive à étendre ses séquences descriptives pour nous amener au plus près de la vraisemblance.
Citant Aragon, il annonce : « J’écris dans un pays où l’on parque les hommes dans l’ordure et la soif, le silence et la faim. » Une dénon