« Sur la base de la couleur de leur peau, de leur nom, les autorités dominicaines refusent d’octroyer des documents identitaires à ces citoyens », a martelé le militant, précisant que « si le nom a une sonorité française ou proche du créole, cela est suffisant pour qu’on vous prive d’acte de naissance et d’autres documents ». Invité à participer à la table ronde de la revue Fotopaklè, Isidro Beriquez Delma en a profité pour présenter la situation de ces milliers d’hommes et de femmes en situation difficile. Il a également fait part des diverse