Les recettes pétrolières collectées par l’Etat ont chuté considérablement, passant de 900 millions à moins de 30 millions de gourdes par mois. Si cela représente un « gros sacrifice fait par l’Etat, par la collectivité », l’ajustement, « sans aucun doute » incontournable, est « un processus très difficile » avec un « coût politique » évident, a confié au journal l’économiste Pierre-Marie Boisson, mercredi 10 mai 2017.
La difficulté de l’ajustement est imputable au premier chef à l’État, à son exécution du prix administré des produits pétrol