«Les rigueurs singulières de la mort sont l’une des rares constantes de ce monde où tout finit, tout passe et tout s’éteint. Phénomène concomitant à la vie, la mort, pourtant, la valorise et l’oriente à bien des égards», disait Karel Occil, le frère aîné du défunt qui a prononcé les propos de circonstance à l’occasion de ses funérailles chantées le lundi 17 avril 2017. Lorsqu’il a prononcé les premières phrases, parents, amis et collègues de bureau n’ont pu contenir leurs larmes. Même Karel a pleuré. Rien que pour dire que devant la mort, on es