Le vendredi littéraire du 31 mars sera consacré à trois textes poétiques qui viennent d’être édités.
La « Cité perdue » (ed. AJS), écriture à quatre mains de Marie-Bénédicte Loze et Lyonel Trouillot, une allégorie du vivre-ensemble sur l’image d’une cité-perdue et à reconstruire, visitant les thèmes de l’amour, de la vérité, évoquant le devoir de merveilles dont parlent certains poètes. « Honte à qui n’a pas su rendre l’amour à l’amour / Honte à qui n’a pas su ouvrir sa main à l’autre comme une ligne de chance ». À l’opposé, « voici aurore