« Après avoir estimé à 2,7 milliards de dollars américains les pertes causées par le cyclone Matthew dans un rapport, on a donc choisi de dépenser 240 millions de gourdes dans un carnaval aux Cayes, une des régions affectées», rappelle l’économiste Kesner Pharel, soulignant qu’un autre s’est déroulé en même temps dans la capitale. Il s’interroge sur les choix des décideurs politiques.
Le P.D.G. du Group Croissance a indexé, à travers cet exemple, le type de comportements de nos décideurs. La dépréciation accélérée fait son petit bonhomme