Trente à cinquante ans de travaux forcés derrière les barreaux, c'est désormais la peine attribuée à toute personne impliquée dans un enlèvement suivi de séquestration. La loi portant modification de la loi du 20 janvier 2009 sur le kidnapping, votée sans anicroche par les sénateurs ce mardi, est claire là-dessus. Il est hors de question de ménager les personnes impliquées dans le kidnapping, devenu un fléau ces dernières années et ayant endeuillé de nombreuses familles haïtiennes, a laissé entendre le rapport de la commission chargée de travai