Trafic de personnes : la direction de Kaliko Beach nie son implication

La direction de Kaliko Beach Club s’est dédouanée de toute responsabilité dans l'affaire survenue à l’hôtel le dimanche 5 février 2017, où 33 femmes, dont 20 mineures, étaient sur le point d'être vendues.

Ruth Cadet
Par Ruth Cadet
20 févr. 2017 | Lecture : 2 min.
La direction de Kaliko Beach Club s’est dédouanée de toute responsabilité dans l'affaire survenue à l’hôtel le dimanche 5 février 2017, où 33 femmes, dont 20 mineures, étaient sur le point d'être vendues. Lors d’une opération musclée menée par la Direction centrale de la police judiciaire, en collaboration avec la Brigade de protection des mineurs et le parquet de Port-au-Prince, 12 présumés trafiquants ont été arrêtés. Dans une note acheminée à la rédaction du Nouvelliste, le directeur du Club soutient qu’il n y a eu aucune négligence de la
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