« Pour le passant impromptu, de Maupassant était une longue rue, d’une fraîcheur exquise, quelque peu sombre, il est vrai, qui protégeait contre les rayons ardents du soleil. En longeant naïvement la rue dont la seule issue ne se trouvait qu’à l’encoignure où se dressait le grand Mapou, le promeneur solitaire commençait à ressentir l’anormalité des lieux. L’air devenait tout à coup lourd, presque irrespirable. C’est à cette encoignure qu’était située la maison d’où semblait venir cette émanation fétide. »
Ce résumé présenté en quatrième de c