Pastè Blaze, pran ka kòw

Avec Pastè Blaze, il paraît presque inutile de s’abonner à des tabloïds pour s’informer sur les potins qui font frétiller notre société. La raison est simple, chaque année depuis plus de dix ans il procède à une sorte de revue de presse. Sa méringue 2017, « Pran ka kò w », en plus de dénoncer le supposé blanchiment de la peau qui concerne tant des quidams que des personnalités qu’il cite nommément, revient sur l’ensemble des nouvelles qui ont bouleversé l’opinion publique en 2016. Le pasteur, loquace comme un perroquet, souhaite ardemment participer au défilé carnavalesque enfin. Ce, qu’il s’organise aux Cayes ou dans la capitale.

Chancy Victorin
Par Chancy Victorin
14 févr. 2017 | Lecture : 3 min.
Ça s’entame avec une reprise de la mélodie du smash hit « Work » de Rihana partagé avec Drake. Dès les premières phrases de sa méringue 2017 baptisée « Pran ka kòw », Pastè Blaze tire à boulets rouges sur ceux et celles qui blanchissent leur peau. « Krèm krèm krèm, medam kounya yo se krèm ….blodè kounya yo se krèm, krèm… », entend-t-on en préface. Comme à l’accoutumée, depuis plus de 10 ans, Pastè Blaze ne ménage pas ses mots pour élaborer sur ce qu’il considère comme les travers de notre société. Utilisant la même verve avec laquelle i
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