La littérature engendre l’alcool, ou alors on finit par écrire des choses aussi enjouées que celles de Paul Claudel. Bref. Si un petit verre ne fera pas de mal, certains affirment même qu’il éloigne le médecin, il est des auteurs qui s’étaient fait un plaisir d’engloutir des livres – ou des litres.
William Faulkner, par exemple, compte un grand nombre de références au bourbon ou whisky dans ses ouvrages – plus d’une centaine en neuf titres, et cela va crescendo. Pour achever l’écriture de The Blue Dahlia, Raymond Chandler aurait tourné avec