Quand un homme politique, appelé à être au pouvoir, parle de lui à la troisième personne, il est sage d’avoir peur.
Quand les pouvoirs qui relèvent d’institutions supérieures sont usurpés par d’autres institutions, il est sage d’avoir peur.
Quand le même compte est tantôt en gourdes, tantôt en dollars, que le flou règne et que des administrations et des hauts responsables se contredisent, il est sage d’avoir peur.
Quand on se rappelle la « carnavalite » aiguë dont souffrait la présidence de Michel Martelly, présenté par certains média