Ces migrants vivaient notamment à San Juan de la Maguana, San Pedro de Macorís, Santo Domingo Las Matas, Santiago, Monte Cristí et Dajabón.
Bon nombre d’entre eux n’ont pas caché leur frustation face aux mauvais traitements dont ils/elles ont été l’objet avant d’être rapatriés à la frontière haïtiano-dominicaine.
Ces ressortissant-e-s haïtien-ne-s en ont profité pour demander aux autorités haïtiennes de se pencher sur leur sort afin qu’ils/elles puissent rester chez eux.
Il convient de souligner que depuis la fin du Plan national