Dener Céide, le compositeur de l'année 2016

Si l’on devait prolonger les vers du tube « Fè bagay » de Chalè, on dirait que la chanson française a Jean Jacques Goldman, la pop américaine a Sia et Linda Perry, le konpa lui à Dener Céide. Depuis « Déception » de Nickenson Prudhomme datée de 2004, à « Heartbreak and misery » de Disip ou « Lajan sere » de Klass qui sont sortis en 2016, le guitariste s'est révélé un alchimiste des tubes du HMI. Dans cette entrevue, le parolier nous entraîne dans le secret des dieux pour tenter de nous faire cerner la recette du succès de ses compositions.

Chancy Victorin
Par Chancy Victorin
05 janv. 2017 | Lecture : 5 min.
Dener Céide, comment réagissez-vous à chaque fois que vous réalisez qu’un de vos textes devient un tube ? J’éprouve de la reconnaissance. Je crois que n’importe quel autre être humain à ma place éprouverait du bonheur à constater que son texte devient un tube, qu’on le passe en boucle à la radio, à la télé, sur Internet. C’est la preuve que mon travail a touché le cœur et l’âme de milliers de gens… C’est toujours une satisfaction de constater cela. Avez-vous des compositeurs modèles ? Bien entendu. Il y a Steevie Wonder, Serge Gainsbourg.
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