Dener Céide, comment réagissez-vous à chaque fois que vous réalisez qu’un de vos textes devient un tube ?
J’éprouve de la reconnaissance. Je crois que n’importe quel autre être humain à ma place éprouverait du bonheur à constater que son texte devient un tube, qu’on le passe en boucle à la radio, à la télé, sur Internet. C’est la preuve que mon travail a touché le cœur et l’âme de milliers de gens… C’est toujours une satisfaction de constater cela.
Avez-vous des compositeurs modèles ?
Bien entendu. Il y a Steevie Wonder, Serge Gainsbourg.