Sur la couverture, on remarque en haut une « nègès » comme des milliers de chez nous qui travaillent activement à débarrasser des grains de riz de leur paille. « C’est une façon pour moi de rendre hommage à la femme haïtienne, figure potomitan de notre société. Le travail qu’elle fait symbolise, à mon sens, un rituel de purification, une façon de dire aux gens de se débarrasser de tout ce que 2016 a pu leur apporter de négatif pour rentrer tout renovés en 2017 », confie Ange-Bellie Andou qui pose avec une rose au bas de la page.
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