Depuis le dimanche 20 novembre, tous les débats tournent autour des élections présidentielle et sénatoriales. Quels que soient les résultats du scrutin, ils provoqueront des grognes. Des déçus, il y en aura. Il y en avait, il y en aura toujours. La boucle de ce long processus électoral doit être enfin bouclée d’ici février pour fermer ce chapitre et passer à autre chose. Quoi qu’il advienne. Peu importe les mises en garde ou les menaces à peine voilées, le pays doit avancer. On souhaite bien entendu que toutes les règles du jeu soient respectée