Il y a juste un an, soit le 25 octobre 2016, les Haïtiens étaient aux urnes pour choisir le successeur de Michel Martelly. Des citoyens qui croyaient que les choses pouvaient encore changer ici répondaient à l’appel du CEP. La montagne avait cependant accouché d’une souris. De l’argent, de l’énergie, des ressources humaines et matérielles étaient mobilisés pour faire de ce jour une réussite. Un nouvel échec pour ceux qui ont la foi en une Haïti où la politique se fait autrement. Un an après, le processus électoral n’est toujours pas encore bouc