La conférence du 22 février 2005, prononcée à l'Institut français d'Haïti par Dépestre nouvellement rebaptisé Depestre, vient de montrer une fois pour toutes le déficit cruel de dignité et parfois d'intelligence d'une partie de notre soi-disant intelligentsia. Nous reviendrons plus tard au changement de nom de l'illustre inattaquable écrivain franco-haïtien.
Avec un engouement reptilien, toutes les têtes ophidiennes et adoratrices de la France nouvellement ou permanemment coloniale, ont à l'occasion fait leur génuflexion. On croirait avoir