a) NÈG ANWO, NÈG ANBA
b) WOCH NAN DLO, WòCH NAN SOLÈY
c) PITIT DESSALINES, PITIT PETION
d) NÈG SITE SOLEY, TI BOUJWA PETIONVILLE
e) TI WOUJ, TI NÈG NWÈ.
On n’en finirait pas avec cette litanie qui alimente au fil des ans et aujourd’hui encore le vocabulaire de certains de nos concitoyens ; créant ainsi un fossé de plus en plus grand parmi les fils de cette même nation : HAITI.
Comme l’écrivait Kléber Georges Jacob :
« Nous sommes les descendants d’esclaves (noirs ou mulâtres). Nous somm