Quand le fouet a déchiré l’homme-Dieu
Quand on a frappé l’amour innocent,
On attendait ce jour-là que les pierres crient (bis)
Mais les pierres se sont tues
La colère s’est perdue dans l’oubli (bis)
Voilà un des chants de carême que je préfère. Je l’ai découvert un vendredi saint lors d’une retraite fermée à laquelle j’avais pris part à l’Institution Sainte Rose de Lima, (ISRL) école catholique où je travaille. Ce chant m’est revenu en tête lorsque, assise dans la chapelle de l’école, j’ai entendu chanter les pierres.
Au diapason d