Poésie

Petite fille de nulle part

Un matin sur le parvis de l'église tu vins vers moi Avec l'innocence de tes dix (10)ans Tu me tendis la main En quête d'une pièce de monnaie Je t'offris mon sourire Tes yeux rieurs dégageaient la candeur, la naïveté Malgré ta condition fragile, l'espoir en toi resplendissait Chaque matin je te réconfortais de mon sourire Tu virevoltais, tu étais heureuse Tu te sentais une personne.

Marie Jean Jocelyne M. Pierre
Par Marie Jean Jocelyne M. Pierre
20 juin 2005 | Lecture : 2 min.
Un matin sur le parvis de l'église tu vins vers moi Avec l'innocence de tes dix (10)ans Tu me tendis la main En quête d'une pièce de monnaie Je t'offris mon sourire Tes yeux rieurs dégageaient la candeur, la naïveté Malgré ta condition fragile, l'espoir en toi resplendissait Chaque matin je te réconfortais de mon sourire Tu virevoltais, tu étais heureuse Tu te sentais une personne. Le monde avait un visage moins hideux. Comme un fil d'Arianne les liens se tissaient entre nous. Je te voyais avec les yeux d'une mère, Avec les yeux
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