«C\'est un dossier, comme l\'opinion publique le comprend bien, assez délicat. L\'Etat, depuis la fin du mois de septembre, est engagé dans un bras de fer avec le banditisme. Et l\'école à Port-au-Prince, à travers toutes ses composantes (parents, élèves, professeurs, directeurs d\'établissements d\'enseignement), est totalement piégée par cette situation. Elle est prise en otage. L\'Etat déploie beaucoup d\'efforts dans cette lutte pour venir à bout de l\'insécurité, mais on n\'arrive pas toujours à sécuriser l\'environnement scolaire», a indi