En lecteur boulimique, je lisais le week-end dernier ton article frappé à l'effigie du titre: «Omabarigore», Davertige. Tu as comblé en moi un vide poétique que le rêve a incarné dans mon coeur pour croître ma nostalgie. Pradel, j'ai compris tes caprices de poète et ta mélancolie resignée à l'encontre de notre jeunesse, victime d'un attentat à la médiocrité prônée qui, dès la naissance, est privée de l'allaitement vital de l'oeuvre de nos meilleurs écrivains.
Davertige est sans doute une valeur sûre, mais il serait plus heureux d'être compri