Pour rendre un hommage posthume à un bel échantillon d’Haïtien

Quand vous joignez un ami alité, hospitalisé au bout du fil ou l’inverse – c’est lui qui vous appelle, comme ce fut le cas le vendredi 14 août dernier – et que vous lui demandiez : «Comment ça va ?», il vous répond : «Pas bien du tout», sachez que votre souffrance intérieure commence.

Jean-Claude Boyer
14 septembre 2015
Par Jean-Claude Boyer 14 septembre 2015
21 sept. 2015 | Lecture : 2 min.
Quand vous joignez un ami alité, hospitalisé au bout du fil ou l’inverse – c’est lui qui vous appelle, comme ce fut le cas le vendredi 14 août dernier – et que vous lui demandiez : «Comment ça va ?», il vous répond : «Pas bien du tout», sachez que votre souffrance intérieure commence. Eh oui ! Quand Jean-Michel me fît part de ce qu’il ne se portait pas bien du tout, mon inquiétude s’accrût. Aussi je me dépêchai le dimanche suivant, soit le 16 août, en compagnie de Gérard Alexandre et de Gérald Job St-Juste pour lui rendre visite. Son neveu Nico
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