La séance de convocation a-t-elle enfoncé le couteau dans la plaie ?

La séance de convocation du gouvernement Lamothe, mardi au Sénat de la République, a mis à nu la faiblesse institutionnelle dans la gestion de la chose publique.

Lemoine Bonneau
lbonneau@lenouvelliste.com
Par Lemoine Bonneau lbonneau@lenouvelliste.com
05 juin 2013 | Lecture : 3 min.
La séance de convocation du gouvernement Lamothe, mardi au Sénat de la République, a mis à nu la faiblesse institutionnelle dans la gestion de la chose publique. 16e Premier ministre, Laurent Lamothe doit attendre encore beaucoup de temps avant de pouvoir maîtriser les rouages de l'administration centrale de l'Etat. Les contrats passés de gré à gré au mépris de la loi sur la passation des marchés publics, l'absence de titulaire à la tête de certaines entreprises d'Etat, le non-respect de la loi sur le budget et de la comptabilité publique dan
CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.