Arrivé à cette partie de l'histoire, René Ouari s'arrêta comme pour souffler un peu. Il se leva, alla vers la fenêtre, ouvrit les battants. L'air frais de la montagne s'engouffra dans la salle. Cela me fit du bien. J'avais l'impression de respirer la puanteur dans cette entreprise funéraire où se déroulait principalement cette terrifiante affaire.
-Je ne vous cache pas que j'ai été assez surpris quand Bernard Sourbier m'a appelé pour me dire qu'il était aux mains d'un malfrat d'un genre bien particulier.
-Un malfrat qui voulait récupérer son