Les séquelles du vote du CSPJ

Le spectacle de mauvais goût qu’a offert  mardi le président du Conseil supérieur du pouvoir  judiciaire (CSPJ), Me Anel Alexis Joseph, peut être interprété comme un signal lancé à ceux qui se font d’illusion que le pays est sur la voie d’un bien meilleur fonctionnement de celui  qu’on a connu pendant ces vingt dernières années.

Lemoine Bonneau
lbonneau@lenouvelliste.com
Par Lemoine Bonneau lbonneau@lenouvelliste.com
26 juil. 2012 | Lecture : 2 min.

Le spectacle de mauvais goût qu’a offert  mardi le président du Conseil supérieur du pouvoir  judiciaire (CSPJ), Me Anel Alexis Joseph, peut être interprété comme un signal lancé à ceux qui se font d’illusion que le pays est sur la voie d’un bien meilleur fonctionnement de celui  qu’on a connu pendant ces vingt dernières années.  La rupture avec le passé tant rêvée  par les organisations de la sociét

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