Sault du Baril: entre richesse naturelle et misère économique!

En sortant de la capitale, à destination d’Anse-à-Veau, à 127 km au sud de Port-au-Prince, ce qui étonne le plus les visiteurs, ce n’est pas les mouvements ondulatoires des vagues de la mer à Petite Rivière-de-Nippes, ni les bruits assourdissants des motards, encore moins les refrains mélodieux des MadanSara qui exhibent leurs produits.

Ladenson Fleurival

fleurival15@yahoo.fr
Par Ladenson Fleurival fleurival15@yahoo.fr
17 juil. 2012 | Lecture : 5 min.

En sortant de la capitale, à destination d’Anse-à-Veau, à 127 km au sud de Port-au-Prince, ce qui étonne le plus les visiteurs, ce n’est pas les mouvements ondulatoires des vagues de la mer à Petite Rivière-de-Nippes, ni les bruits assourdissants des motards, encore moins les refrains mélodieux des MadanSara qui exhibent leurs produits. Ce n’est pas non plus les bananiers dont les feuillages saluent les passants, ni la verdure de l’environnement qui concurrence

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